Renseignements auprès de l'école et de la garderie (2023)

L'un l'autre

Le MS 1 et la classe partenaire 6b du collège Albrecht - Dürer à Haßfurt apprennent et travaillent ensemble pour la deuxième année.

Avec le dernier projet "Earthworm Luca migrates", intégré dans une histoire, il convient de montrer l'importance du ver de terre pour les terres agricoles fertiles et donc la production d'aliments sains.

À cette fin, les deux classes ont créé ensemble diverses stations, telles que l'examen de différents types de sol, l'observation et la documentation du temps de germination et de la croissance des graines de moutarde semées ainsi que le travail des vers de terre dans la lombricomposteuse.Un élève de chaque classe s'occupait d'une station en tant qu'aide et coordinateur pour les élèves de 4e année de l'école primaire adjacente, à qui le projet était présenté.

Avec ce projet, les deux classes ont postulé au concours national "REAL KUH-L".et ont atteint la 4ème place dans leur tranche d'âge, récompensée par un prix en espèces pour le fonds de la classe et des prix en nature.

Le don pour la Saint-Valentin

Le 14 février 2019, c'était la Saint-Valentin. Le groupe créatif de la BS a eu l'idée de distribuer des roses. Les élèves pouvaient commander des roses et les offrir aux personnes qui leur plaisaient en signe d'amitié. Le fleuriste "Roselie" nous a offert 80 roses pour cette campagne. Nous avons pu commander des roses et réaliser des cœurs en origami pour les roses. Le 15 février 2019, nous avons reçu les roses le matin et avons attaché les pendentifs aux roses. Dans la bonne humeur et en musique, nous avons distribué les 80 roses aux personnes pour lesquelles une rose avait été commandée. À la fin, nous avons distribué une devise et c'était :

"Ça s'appelle l'amitié parce qu'on peut tout faire avec des amis !"

Nous tenons à remercier Mme Diem pour le don de roses. Avec l’argent que nous récoltons grâce aux roses, nous achetons du savon pour nos salles de classe et le reste de l’argent que nous donnons aux personnes dans le besoin.

Écrit par Janina et Fabian, BS

Le 11 novembre 2016, les élèves des classes GS I et 1b ont invité tous les élèves de l'école primaire du Dürerweg à Haßfurt à une petite Martinsfest.

Ils ont surpris leurs invités avec une BREAK SALE unique.

C'est avec beaucoup de joie et de motivation qu'ils ont organisé leur Martinsfest :

• Ils ont répété la chanson "Lichterkind".
• Ils ont acheté les ingrédients pour les muffins indiens et le lassi à la mangue
• Ils ont décoré l'auditorium
• Ils ont fait beaucoup de muffins

Le jour de la Saint-Martin, les enfants des classes GS I et 1b ont accueilli leurs petits invités dans l'auditorium, distribué leurs muffins faits maison et leurs boissons au yaourt maison et ont chanté leur chanson à la Fête de la Saint-Martin.

Nous sommes très heureux de pouvoir reverser le produit des ventes de pauses à l'action "Lichterkinder". Les dons vont à la zone du projet Bharuch en Inde. World Vision y soutient la rénovation de petits centres pour enfants et, dans ce qu'on appelle « Anganwadi » (hindi : « cour protégée »), offre aux enfants indiens l'accès à l'éducation dans un environnement heureux et adapté à leur âge, en plus des soins médicaux. .

À la mi-octobre, les élèves des classes GS I et 1b ont visité la station environnementale du Reichelshof à Sennfeld. Là, ils ont participé au programme d’apprentissage « De la pomme au jus de pomme » dans le cadre de l’environnement d’apprentissage à la ferme. Dans le verger du pré, les élèves ont pu récolter les pommes avec le cueilleur de pommes, puis les laver ensemble, les hacher et enfin les presser en jus dans le presse-pommes.

Notre jus de pomme fraîchement pressé était délicieux

Dans la semaine du 06/06/16 au 10/06/16 il a été dit pour les élèves de la classe BSI :

les affaires scolaires restent à la maison - une semaine d'action est au programme.

Durant ces cinq jours, les expériences partagées ont été nombreuses, durant lesquelles les élèves ont pu aborder autre chose que les cours !

Nous visitons le chemin des cimes des arbres dans le Steigerwald !

On fait du shopping à la Stadtgallerie Schweinfurt !

Nous préparons notre soirée barbecue !

... et passons un très bon moment !

Enfin, nous visitons les pompiers de Hassfurt !

Les classes 2b de l'école primaire de Hassfurt et GS1 de la Hassberge Lebenshilfe ont couronné leur projet théâtral par une pièce brillante.

Une année de préparation au cours de laquelle les deux classes ont eu beaucoup à faire avec leurs professeurs (Claudia Bezdeka, Alexandra Krines-Bessler et Ulrike Pottler). L'un des thèmes abordés était le théâtre : voir et jouer au théâtre. Les étudiants ont visité Maßbach à deux reprises, visité les différentes scènes et les ateliers de décors, fait la connaissance des acteurs et des metteurs en scène et participé à une répétition de la pièce Pippi Longstocking.

Les étudiants ont vite compris : « Nous voulons aussi jouer au théâtre !

Lors de la visite de retour du professeur de théâtre K. Wunderlich, sous sa direction, la pièce «Le labyrinthe fou» a été créée. Ce n'était pas si simple de réconcilier de nombreux sorciers, rois, dragons, chasseurs, fées, etc.

Mais comme toujours, les 2b et leur classe partenaire de la Lebenshilfe l'ont maîtrisé ensemble.

Lorsque le théâtre de marionnettes spécialement conçu pour notre coopération a été livré par WfB Augsfeld, rien ne nous a arrêté. Avec beaucoup de couleurs et d'engagement, les élèves en ont fait un objet unique.

La grande question se pose alors : « Quand allons-nous jouer notre pièce ?

35 enfants ont transpiré avec leurs professeurs et surveillants en peignant, en répétant, en faisant du bruit, etc. Peu avant Noël, le moment était venu. Parents, grands-parents, amis et les deux directrices de l'école, Mme Schott et Mme Lesch, ont été invités à installer un théâtre dans la classe....

L'enthousiasme parmi les étudiants et les adultes était grand, mais tout s'est bien passé, comme l'ont prouvé les tonnerres d'applaudissements à la fin.

Un projet ardu mais merveilleux, qui montre une fois de plus à quel point la coopération entre les deux écoles fonctionne bien, a pris fin.

Hassfurt. "Cela laisserait quelque chose de nous à la sortie de l'école." Et Jan Sereda de Holzhausen, qui fréquente le niveau d'école professionnelle (BS) au centre de soutien de Sylbach de la Lebenshilfe Haßberge, quitte l'établissement fin juillet et entame une nouvelle phase de sa vie : le monde du travail. L'idée de faire quelque chose avec des graffitis au sein du « groupe créatif » pendant la soi-disant « Semaine d'action » n'a pas seulement été accueillie avec enthousiasme par le jeune de 18 ans.

« Ils m’ont eu parce que les étudiants laissent tellement de traces en nous. Pourquoi ne pas les rendre visibles», explique Katharina Weidinger. La nounou est en partie responsable du fait qu'en plus de Jan, 20 autres étudiants des deux niveaux de licence se sont lancés dans une activité artistique. La nounou de Haßfurt travaille avec sa collègue Christiane McKillop et les enseignantes Katharina Memmel et Ingrid Meyer tous les jeudis, jour de pratique au centre de soutien, dans l'un des quatre groupes de pratique (entretien ménager, repassage, atelier et création). "Au début, nous discutons toujours de ce qui vous intéresse et de ce avec quoi vous aimeriez travailler", explique le joueur de 31 ans. Katharina Weidinger aime s'orienter vers les étudiants. Ainsi, après avoir tonifié, cousu, feutré, peint les murs et dessiné avec du bois, l'art sous forme de graffiti a été évoqué. Il s'agissait de l'origine et des différents types et "bien sûr aussi du fait qu'il y a des gens talentueux qui réalisent des travaux sur commande", a-t-elle évoqué les images pulvérisées sur la promenade de Hassfurt et sur l'ancien rond-point EZO. Weidinger s'est tourné vers Tobias Marquardt, qui est "pulvérisateur" légal depuis 1998 et a déjà participé à divers projets à Hassfurt, Bamberg et Würzburg.

Pendant ce temps, les étudiants ont dessiné de « merveilleux modèles » et ont créé un portfolio de leurs idées. Ensuite, ils ont parcouru très prudemment le bâtiment de l’école pour identifier d’éventuels murs. Ils se sont finalement décidés pour les terrasses devant leurs deux salles de classe. "School rocks" ou "Respect" - dans une grande variété de couleurs - peuvent désormais y être lus.

Pour Tobias Marquardt, travailler avec les jeunes de la Lebenshilfe était une nouvelle expérience. "J'ai été vraiment surpris de voir que tout le monde était très motivé et avait déjà quelques connaissances préalables", se réjouit le joueur de 32 ans. « Bien sûr, c’était aussi épuisant pour moi. C'est définitivement différent de suivre un cours dans un collège communautaire. Mais très sympa, parce que tout le monde est aussi très gentil. » Une grande quincaillerie de Haßfurt a fait don des panneaux nécessaires pour certains « graffitis » qui n'étaient pas pulvérisés directement sur les murs. "Nous en sommes très reconnaissants", a déclaré Katharina Weidinger.

Compétition de natation : École contre WfbM

Le 26 avril 2015, l'équipe de natation de l'école a à nouveau relevé le défi et affronté les nageurs presque écrasants de la WfbM d'Augsfeld. Comme toujours, le lieu était la piscine couverte de Zeil.

Les étudiants peuvent être très satisfaits de leur performance, même si celle-ci n'a malheureusement pas suffi pour la victoire au classement général et la Challenge Cup peut donc rester une année supplémentaire à Augsfeld. L'équipe a célébré avec enthousiasme les petits succès tels que les victoires des équipes de relais individuelles ou la victoire dans la discipline surprise. Les nageurs ont dû parcourir un couloir avec un petit matelas pneumatique sans entraînement préalable, ce qui s'est avéré pas vraiment facile. En fin de compte, tous les étudiants pouvaient se sentir gagnants, après tout, chacun avait fait de son mieux.

Nous devons cette année encore le succès du concours aux stagiaires d'Uponor, qui ont renoncé à leur dimanche pour nous soutenir. Ils ont pris en charge le chronométrage, organisé un délicieux goulasch pour se renforcer après la baignade et créé les certificats pour chaque participant.

Les photos suivront sous peu......

Depuis plus d'un an, l'école professionnelle vend avec succès des cartes de vœux faites à la main avec des motifs attrayants d'œuvres d'art par nos élèves de tous niveaux. À ce stade, soyez cordialMerci au fabricant de meubles Kann de Zeildue, qui a sponsorisé une étagère spéciale pour mettre la carte de vœux colorée sous le bon éclairage et la rendre visible à tous les visiteurs, membres du personnel et étudiants. Avec les cartes, l'étagère est un véritable bijou et orne le mur devant le secrétariat !

Pendant les heures d'ouverture du secrétariat, les billets peuvent y être achetés au prix de 1,50 € pièce. Le prix comprend une enveloppe de haute qualité dans la couleur de votre choix. Nous proposons des motifs adaptés aux saisons et changeants.

Le niveau de l'école professionnelle est également heureux d'accepter des commandes et de produire des demandes spéciales en plus grande quantité.

Cette année également, les meilleurs joueurs de tennis de table de l'école se sont inscrits à la qualification interne de l'école pour les championnats des écoles spécialisées de Basse-Franconie.

Le tournoi de qualification de l'école était dirigé par Norbert Back, le « père » du tennis de table compétitif dans les écoles spécialisées. L'enseignant, qui a depuis pris sa retraite, a pris une matinée supplémentaire pour enseigner aux élèves et à l'enseignant comment organiser et évaluer correctement et professionnellement un championnat interne à l'école. Merci beaucoup pour cela!

Les quatre meilleurs élèves du diplôme scolaire ont ensuite pu participer au championnat de Basse-Franconie des écoles spécialisées pour le développement mental, qui a eu lieu cette année le 25 mars à Bad Königshofen. En plus des petits succès personnels dans les jeux individuels, notre école a également pu célébrer les meilleurs placements de tous les temps ! Le meilleur était Julian Ziehr avec une très belle 17ème place ! Toutes nos félicitations!

Soirée des parents sur le thème de l'éducation sexuelle au collège et au lycée professionnel

Les parents des niveaux collège et professionnel, ainsi que les employés de l'école et de la garderie, ont vécu une soirée parentale très divertissante, mais non moins instructive.

Après que Mme Stuhlinger ait accueilli le groupe, Mme Vogt a expliqué comment le sujet était lié au programme scolaire et a remercié l'enseignante stagiaire Mme Thomas pour avoir conçu les tables de livres thématiques, que les parents et les employés pouvaient parcourir. Mme Schraut, collaboratrice du « Projet MFM = My fécondité Matters = Meine fécondité compte » du Département de la pastorale conjugale et familiale du diocèse de Würzburg, a présenté aux personnes présentes les deux ateliers qui auront lieu à l'école. Les parents et les employés ont été enthousiasmés par la façon dont Mme Schraut a transmis le contenu des ateliers avec vivacité et compétence.

Le principe directeur du projet est « Je ne peux protéger que ce qui me tient à cœur ».

Les adolescents qui se familiarisent avec les processus de leur propre corps se connaissent eux-mêmes, ils sont donc moins instables, développent une confiance en eux saine et une compétence physique étonnante.

L'atelier pour les filles porte le nomMFM Filles Femmes Mes journées ; le cycle show-sur la trace du code secret de mon corps.

Celui pour les garçons :MFM hommes pour hommes ; agents en route.

Hassfurt. L'adolescence est une période difficile, non seulement pour les jeunes eux-mêmes, mais aussi pour les parents et les enseignants. Un sujet très sensible dans ce contexte est celui des agressions sexuelles chez les jeunes. Quelle situation repose simplement sur un malentendu, qu’est-ce qu’un flirt raté, qu’est-ce qu’une agression délibérée ? Ces questions sont désormais traitées dans un projet commun du centre de soutien axé sur le développement mental de la Lebenshilfe Haßberge et de l'Albrecht-Dürer-Mittelschule pour les parents, les enseignants et les élèves.

Le projet de prévention a été soutenu par la campagne « Sternstunden ». L'accent a été mis sur la pièce de théâtre "Mon corps est mon ami" du groupe EUKITEA, ouverte au préalable non seulement aux élèves mais aussi aux parents. En préparation de la journée du projet, une soirée d'information pour toutes les personnes de contact des étudiants a été organisée par Christine Klein, qui a accompagné le projet sur le plan pédagogique.

Au cours de la formation d'enseignant, elle s'est rendu compte que classer ce qu'est le comportement pubertaire et où commence la violation des limites était un exercice d'équilibre. Il est clair cependant que tout ce qui se produit contre la volonté de l’une des personnes impliquées constitue une agression. Cela commence par des slogans et des rumeurs sexistes et s'étend aux tâtonnements, aux films sur téléphone portable et, dans le pire des cas, au viol. De nombreux jeunes ne savent pas que les photos de nus prises d’un commun accord ne peuvent pas être transmises, mais qu’il s’agit d’une infraction pénale.

Christine Klein a également sensibilisé les enseignants à l'évolution de la culture des jeunes qui fait trembler les têtes. De nombreux enseignants sont conscients que les jeunes du paysage médiatique moderne ont accès très tôt aux images et aux films pornographiques. Le fait qu’il y ait des rendez-vous « gang bang » était nouveau pour beaucoup. "Les jeunes savent qu'il s'agit de viols collectifs et y vont quand même", explique Christine Klein.

Les jeunes qui ont peu confiance en eux, qui se caractérisent par une relation précoce précaire ou qui ont déjà vécu des violences au sein de la famille sont particulièrement susceptibles d'être victimes d'agressions sexuelles. Quiconque ne vit pas d’interaction positive à la maison ne se comporte pas non plus de manière positive envers ses pairs. Parce que le groupe de pairs, le cercle d'amis, est l'autorité décisive pendant la puberté, les parents devraient connaître les amis de leurs enfants, prévient-elle. La compétence médiatique et le modèle des adultes sont importants. Les parents et les enseignants devraient écouter et surveiller afin de pouvoir intervenir pour se protéger. Si un incident survient alors, les adultes sont tenus de réagir clairement. Les enseignants voudront peut-être demander une aide extérieure.

Selon l’éducateur, la clé de voûte de la prévention est l’éducation sexuelle. Les options de questions anonymes sont très utiles. Des sujets comme « Flirter, comment ça marche » devraient absolument être des sujets en classe. Certaines questions doivent également être traitées séparément selon le sexe. Elle a également recommandé un groupe de discussion pour les parents, notamment pour le centre de soutien.

La pièce dans laquelle Leah et Sven ont montré les changements à partir de l'âge de 12 ans était très impressionnante.

"Vraiment cool", "c'est incroyable", "super, nous en sommes heureux" : ces déclarations et d'autres similaires ont été entendues par les enfants de la communion Phillip, Valentin, Paul, Yannik et Johannes de Großeibstadt, qui fréquentent l'école primaire avec leurs mères. l'école de niveau 1 et leur classe partenaire à Haßfurt ont visité.

Les garçons avaient avec eux un don de 355 €.

Ils voulaient faire don d'une partie de l'argent qu'ils ont reçu pour leur dimanche blanc, et les élèves de GS1 et 2f en ont été les heureux bénéficiaires.

Annika a fréquenté la classe 1 de l'école primaire et a donné à son cousin Phillip l'idée que les élèves pourraient certainement bénéficier d'une injection financière pour des instruments de musique. Certains de ses camarades de classe ont trouvé que l’idée valait la peine d’être imitée et, ont dit, c’est fait......

Lors de la visite de vendredi, les élèves de la Lebenshilfe ont fièrement montré leur début de journée avec leur classe partenaire, leur classe et leur bâtiment scolaire sur le Dürerweg. Nous avons beaucoup mangé, ri, chanté, joué et parlé ensemble.

En fin de compte, tout le monde était d'accord

"C'est normal d'être différent..."

Sylbach. Brindilles, pierres, herbes et fleurs : neuf étudiants du centre d'assistance de Haßberge utilisent actuellement ces matériaux naturels pour construire une « œuvre d'art éphémère » dans une prairie à côté de l'installation de Sylbach.

Bobby, Karsten, Diana, Toni, Manuel, Darwin, Bastian, Michael et Michelle ont été animés en cours d'art par le land artiste et peintre américain Robert Smithson, décédé en 1973, ou par sa célèbre œuvre "Spiral Jetty", une jetée en spirale dans le désert de l'Utah, et Christo et Jeanne-Claude et leurs "Wrapped Walkways". « Les artistes modifient les paysages de telle manière que de nouvelles structures émergent. Les œuvres appartiennent à la nature et sont éphémères », explique son professeur Elisabeth Freisinger.

L'enseignant stagiaire de 27 ans dans des écoles spécialisées a confié aux élèves la tâche de recréer les œuvres d'art. À partir de croquis, ils ont préparé des listes de matériaux et d'outils. Ensuite, ils ont ramassé des branches, des brindilles, des pierres, de l'herbe et des fleurs pendant plusieurs jours. Ils réaliseront une grande spirale à partir de ces matériaux jusqu'à vendredi. Les allées sont faites de vieux draps blancs. Ceux-ci étaient découpés sur mesure, agrafés ensemble, disposés autour de la spirale et fixés au sol avec des bâtons de bois. "Le résultat est une œuvre d'art sur laquelle on peut même marcher", souligne Elisabeth Freisinger, félicitant dans ce contexte ses élèves. "Ils apprennent à planifier un projet d'une telle envergure et à travailler avec diligence jusqu'à ce que tout soit accompli."

Alors que l'école primaire voisine a déjà été invitée vendredi au "vernissage" officiel de l'œuvre d'art, d'autres personnes intéressées peuvent également admirer le parcours en spirale des élèves de la Lebenshilfe sur le pré en diagonale à côté du parking (au-dessus du nouveau cimetière de Sylbach). Au bout d'une semaine, les tissus sont à nouveau enroulés et les pierres sont emportées. Les feuilles et les petites brindilles, en revanche, restent et entrent dans le cycle naturel.

Nous tambourinons des rythmes d'Afrique sur des Djembès et des grosses caisses.

On s'amuse aussi beaucoup avec des chansons, des jeux rythmés et des dictons !

Et en cours de route, la motricité et la capacité de concentration sont entraînées.